Caterpillar: second jour de grève sur le site

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Les travailleurs de Caterpillar Belgium à Gosselies (Charleroi) ont bloqué lundi matin l’entrée du site, entamant ainsi leur second jour de grève après le débrayage de vendredi qui avait fait suite à de nouvelles crispations avec la direction.

Les syndicats et les responsables du site se sont rencontrés deux fois la semaine dernière pour évoquer le futur plan social. Lors de ces deux rendez-vous, les partenaires sociaux se sont opposés sur le lien – ou non – à établir entre les discussions relatives au plan social et celles tournant autour des conventions collectives et des règlements de travail pour le personnel qui restera après la restructuration.

Les syndicats ne veulent pas entendre parler de cette association. La direction rappelle quant à elle que dès l’annonce du plan fin février, elle avait averti de la nécessité de lier les deux volets afin de redresser la position compétitive du site.

“L’action de grève a notamment pour but de montrer notre mécontentement”, a indiqué lundi Thierry Duchêne, permanent CSC. Selon ce dernier, le combat syndical “a pour objectif de préserver trois piliers: le sort des ouvriers qui seront prépensionnés, les conditions pour le personnel qui restera après la restructuration et l’avenir du site”.

Belgium à Gosselies (Charleroi) ont bloqué lundi matin l’entrée du site, entamant ainsi leur second jour de grève après le débrayage de vendredi qui avait fait suite à de nouvelles crispations avec la direction. Les syndicats et les responsables du site se sont rencontrés deux fois la semaine dernière pour évoquer le futur plan social. Lors de ces deux rendez-vous, les partenaires sociaux se sont opposés sur le lien – ou non – à établir entre les discussions relatives au plan social et celles tournant autour des conventions collectives et des règlements de travail pour le personnel qui restera après la restructuration.

Les syndicats ne veulent pas entendre parler de cette association. La direction rappelle quant à elle que dès l’annonce du plan fin février, elle avait averti de la nécessité de lier les deux volets afin de redresser la position compétitive du site.

“L’action de grève a notamment pour but de montrer notre mécontentement”, a indiqué lundi Thierry Duchêne, permanent CSC. Selon ce dernier, le combat syndical “a pour objectif de préserver trois piliers: le sort des ouvriers qui seront prépensionnés, les conditions pour le personnel qui restera après la restructuration et l’avenir du site”.

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